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Autres sources

 

Les articles à la une

Napoléon est dans l’optimisme d’une conquête facilePublié le 05/11/2019

2/3 - Revue militaire n°55
le lieutenant-colonel Georges HOUSSET

Il écrit à de Pradt, archevêque de Malines : « …si cette entreprise devait me coûter 80 000 hommes, je ne la tenterais pas. Mais elle ne m’en coûtera pas 12 000. C’est un enfantillage. Les Espagnols ne savent pas ce que c’est qu’une armée française. Croyez-moi, cela finira vite ».

La guerre d’Espagne de 1808-1813, les raisons d’un enlisementPublié le 04/11/2019

1/3 - Revue militaire n°55
le lieutenant-colonel Georges HOUSSET

Saint-cyrien de la promotion Grande Armée (1981-1983), docteur en histoire, le lieutenant-colonel HOUSSET sert dix ans dans l’arme du Train avant d’occuper les fonctions de chef de bureau, successivement, au cabinet du ministre (SDBC), à la Direction de la mémoire du patrimoine et des archives (DMPA) et au Service historique de la Défense (SHD). En 2006, il est affecté en qualité d’adjoint au général délégué au patrimoine de l’armée de Terre (DELPAT) puis retourne au SHD pour prendre la tête de la division de la symbolique de la Défense. Depuis 2015, il sert au centre de doctrine et d’enseignement du commandement (CDEC) comme chef de la fonction recherche et histoire, au sein du pôle études et prospective (PEP), adjoint au commandant du pôle.

La culture française de la contre-rébellionPublié le 02/11/2019

2/3 - Revue militaire n°55
le chef d’escadrons Paul LA COMBE

Ce qui relèverait d’une culture spécifiquement française de la contrerébellion est un ensemble complexe fondé sur une histoire longue. Les tentatives de catégorisation, parfois caricaturales, permettent de différencier plusieurs approches10.

Contre-insurrection au Sahel, une manière française ?Publié le 01/11/2019

1/3 - Revue militaire n°55
le chef d’escadrons Paul LA COMBE

Stagiaire de la 132e promotion de l’École de Guerre- Terre, diplômé de Sciences Po Bordeaux en 2005 et de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr en 2006, le CES LA COMBE a servi en régiment de chars avant de commander le 1er escadron du 1er régiment de chasseurs d’Afrique. Il a été affecté de 2015 à 2018 au quartier général de la Force de réaction rapide-France.

Confrontés à des résultats modestes dans leurs engagements asymétriques récents, les États occidentaux, dont la France, ont proposé de nombreuses réflexions sur les techniques de contre-rébellion. La richesse de l’expérience africaine française est sans conteste une mine de réflexions sur la façon d’appréhender les « petites guerres ». D’une certaine manière, on peut parler d’un style français profondément ancré dans notre culture opérationnelle. Sans opposer radicalement les techniques françaises ou étrangères, et encore moins d’avancer une quelconque supériorité, l’objectif de cet article est de proposer quelques pistes de réflexions dans le cadre des opérations actuelles à partir de la riche expérience qui existe dans l’armée de Terre.

D’une guérilla à une guerre conventionnelle : la surexploitation de la guérilla HmongPublié le 31/10/2019

3/3 - Revue militaire n°55
Monsieur Corentin CURTENELLE

Jusqu’en 1968, la guérilla menée par les Hmongs est un succès. Néanmoins, le Pathet Lao renforcé d’éléments vietnamiens, va lancer une offensive sur la plaine des Jarres20 dès le mois de janvier. La faiblesse de l’armée laotienne fait de la force Hmong la principale ligne de défense du Laos contre les communistes.

Les Hmongs : pions de la stratégie de containment américainePublié le 30/10/2019

2/3 - Revue militaire n°55
Monsieur Corentin CURTENELLE

En 1954, les États-Unis constituent le seul rempart sérieux face à l’expansion communiste en Asie du Sud-Est. Washington souhaite s’appuyer sur des alliés fiables, capables de les soutenir dans leur politique d’endiguement.

La guerre par procuration : l’utilisation de l’ethnie Hmong dans les guerres d’IndochinePublié le 29/10/2019

1/3 - Revue militaire n°55
Monsieur Corentin CURTENELLE

Chargé d’études au pôle études et prospective (PEP) du centre de doctrine et d’enseignement du commandement (CDEC), M. Corentin Curtenelle est titulaire d’un Master en Relations Internationales. Réserviste, il contribue à la rédaction du « Brennus 4.0 » et participe à l’élaboration de « l’éclaireur », document de veille prospective national et international, publié par le CDEC.

 

David Galula, du Capitole à la roche Tarpéienne ? 4/4Publié le 28/10/2019

Primauté du politique - Revue militaire n°55
Monsieur Matthieu MEISSONNIER

Au-delà de la manière de conduire les opérations militaires, le principal apport de Galula est de démontrer que la guerre contre-insurrectionnelle est essentiellement politique. Non seulement les aspects militaires ne représenteraient guère que 20 % des missions à accomplir, mais ce serait une erreur de confier aux militaires les fonctions des civils que ce soit en matière de police, de justice ou d’administration générale. C’est bien le politique qui détient la clef du succès des opérations.

David Galula, du Capitole à la roche Tarpéienne ? 3/4Publié le 27/10/2019

Questions opérationnelles - Revue militaire n°55
Monsieur Matthieu MEISSONNIER

Si Galula ne peut donc être un manuel à glisser dans la musette, il devrait rester une source d’inspiration et de réflexion pour passer au crible les opérations et les difficultés que les forces occidentales rencontrent aujourd’hui. Donnons-en quelques exemples sur l’emploi de la force et la manière dont elle est perçue.

David Galula, du Capitole à la roche Tarpéienne ? 2/4Publié le 26/10/2019

Pacification et incompréhension - Revue militaire n°55
Monsieur Matthieu MEISSONNIER

David Galula fixe lui-même les bornes de sa démarche : « Nul joueur d’échec n’a jamais trouvé d’ouverture garantissant la victoire, et nul n’en trouvera jamais ». S’il n’y a pas de panacée dans la conduite de la guerre, il est pourtant possible de tirer des leçons pratiques et théoriques de l’expérience et de l’observation sans en faire selon ses propres mots « des doctrines soi-disant incontournables érigées en article de foi ».

Armée