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Autres sources

 

Les articles à la une

⚡️ La transparence du champ de bataille à l’aune des nouvelles technologiesPublié le 03/09/2019

BRENNUS 4.0
le chef de bataillon Philippe Georges

Des tous premiers combats de l’huma­nité sur les rives du lac de Turkana il y a 10000 ans, jusqu’à notre déploiement en bande sahélo­saharienne, le brouillard de la guerre, c’est-à-dire le climat d’incertitude dans lequel se déroule la guerre, a toujours fait partie de  l’engagement de  la  force. N’importe quel homme, fut­il plus ou moins impliqué dans la conduite de la guerre, fut­il plus ou moins éloigné du front, a cherché à le dissiper. À cet effet, les moyens employés pouvaient aller du simple espion jusqu’au satellite bardé de capteurs en tous genres. Aujourd’hui, les progrès technolo­giques  à  notre  disposition nous  permettent de maintenir en permanence des moyens de surveillance, de détecter une présence humaine à plusieurs milliers de mètres d’altitude ou la moindre émission électromagnétique.

Dominons la coalition! L’officier français face au défi du multinationalPublié le 23/08/2019

cahier de la pensée mili-Terre
le Chef d’escadrons Christophe de LIGNIVILLE

La France engage aujourd’hui majoritairement ses forces armées dans un cadre multinational, même en Afrique. Quelle qu'en soit la forme, la coalition présente certaines caractéristiques propres qui modifient profondément la préparation et la conduite de l’action. Pour optimiser nos engagements et conserver une capacité d’influence décisive, il faut résolument s’approprier le multinational. Grâce à sa forte expérience opérationnelle, sa faculté d’adaptation éprouvée et sa culture singulière, l’officier français a de solides atouts à jouer.

Et si Napoléon avait combattu Daech ?Publié le 22/08/2019

Cahiers de la pensée mili-Terre
le Lieutenant-colonel Frédéric JORDAN

Il est souvent rappelé que l’histoire militaire peut parfois nous apporter des enseignements ou des clés de compréhension pour mener des campagnes contemporaines. Certes, il est probable qu’avec le temps, certains modes d’action ou constructions opérationnelles soient devenus anachroniques du fait des progrès techniques, de l’évolution de la menace ou des limites éthiques. Néanmoins, les réflexions de certains penseurs ou chefs illustres peuvent garder toute leur pertinence dans la manière de conduire une guerre aujourd’hui. Dans cette étude très originale, l’auteur met ainsi face à face Napoléon et Daech.

Les robots militaires sont là… et maintenant ?Publié le 21/08/2019

cahier de la pensée mili-Terre
Lieutenant-Colonel Tristan ZELLER

L’auteur nous présente de manière argumentée et critique les enjeux et les perspectives opérationnelles de la robotisation et de l’automatisation du champ de bataille dans les conflits modernes, en particulier pour les armées françaises.

D’une défense de l’avant à l’ennemi de l’interieur, quelles conséquences sur le rôle du soldat ?Publié le 19/08/2019

Cahiers de la pensée mili-Terre
le Chef d’escadrons Pierre-Yves GINOT

«La continuité de la politique» pousse depuis toujours le soldat à s’interroger sur le rôle qu’on lui fait jouer. Car même si l’action militaire répond à des logiques spécifiques, la mission attribuée au soldat reste le prolongement d’une problématique politique. Les réflexions de chacun varient ainsi selon l’évidence ou la complexité du conflit, mais le chef en fait rarement l’économie car il assume une responsabilité singulière, celle de donner du sens à l’action. Or, si la menace d’une invasion met fin à bien des questionnements, l’emploi actuel des forces armées n’offre plus le même confort intellectuel et marque une nouvelle étape en termes de complexité.

Un RETEX d’OPEX au XVIIe siècle Publié le 05/08/2019

l’expédition oubliée de Crète (1660-1661)
Colonel (R) Pascal ARNOUX, Docteur en histoire

Episode d’une guerre de coalition de circonstance, opération péniblement planifiée et imprudemment conduite, l’expédition de Crête se solde par un double échec face aux Turcs : échec du siège de la Canée, désastre de Candia Nova. Dans le rapport qu’il transmet au roi à son retour en 1660, le chef d’état-major Millet de Jeure tire un RETEX complet de cette opération désastreuse, où l’on découvre comment les facteurs de supériorité opérationnelle ont été mis en défaut, et qui frappe par son intelligence, son actualité et la pertinence de ses recommandations.

Retour d’expérience de l’emploi de la cynotechnie Publié le 04/08/2019

par l’armée de Terre française
Lieutenant-colonel Claire DEBEAUX

Les équipes cynotechniques constituent un complément capacitaire efficace dans les missions de combat débarqué, les actions de défense et de sécurité des installations militaires et en recherche de détection d’explosif, armement et munitions . Cette capacité opérationnelle poursuit son adaptation et son intégration pour accroître ses performances opérationnelles dans des environnements complexes où sa plus-value est avérée .

Conclusion du colloque Publié le 02/08/2019

les principes de la guerre en 2035
Général de division Patrick BRETHOUS

Issu de l’ALAT, le général de division Patrick Bréthous est diplômé de l’Ecole spéciale militaire de SaintCyr. Il a participé à de nombreuses opérations, notamment en Somalie et en Bosnie. En 2004, il est nommé chef de corps du détachement ALAT des opérations spéciales, puis en 2006 chef d’état-major de la brigade des forces spéciales Terre. Chef du centre de planification et de conduite des opérations de l’état-major des armées entre 2013 et 2015, il a commandé l’opération Barkhane en 2015-2016. Commandant des forces spéciales Terre à partir de 2016, il est aujourd’hui sous-chef opérations aéroterrestres à l’état-major de l’armée de Terre.

Comment s’appliquent les principes de la guerre au concept de multi-domain operations ? Publié le 01/08/2019

Brigadier-General (promotable) (USA) John PHILIPS

Le général John Philips est issu des Signal Corps. Diplômé du United Sates Army College, il a été déployé sur de nombreux théâtres d’opérations, notamment en Irak, en Afghanistan et au Koweit. Il est aujourd’hui affecté au G6 United State Army Europe.

L’infovalorisation et le combat collaboratif constituent-ils une révolution tactique ?Publié le 31/07/2019

Général-Major (BEL) Philippe BOUCKE

Le Général-major Philippe Boucké débute sa carrière au sein de la 121e Promotion Toutes Armes de l’Ecole Royale Militaire. En 1994, il rejoint l’état-major de la 17e Brigade Blindée à Spich en Allemagne, pour y exercer les fonctions d’adjoint Officier Opérations et Entraînement. Il rejoint le Premier Régiment de Chasseurs à Cheval à Bourgléopold en août 1996 pour y exercer la fonction d’Officier Opérations et Entraînement. En 2015, il est affecté à l’état-major Défense à Evere pour y travailler au Cabinet du CHOD, au sein de la cellule GPS (Governance and Policy Support) dont il devient le Chef en juillet 2016. Le Généralmajor Boucké est désigné comme sous-chef d’état-major Stratégie en 2017. En 2018, il est nommé Aide de Camp de Sa Majesté le Roi par Sa Majesté le Roi Philippe de Belgique.

Armée