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Autres sources

 

Les articles à la une

1919-1920, l’occupation de la RhénaniePublié le 17/02/2022

Soldats de France n° 17
Chef d’escadron Julien Monange

Après l’armistice de novembre 1918, la France, dévastée, porte ses regards vers le territoire de l’ennemi, intact et inviolé. L’idée prend vite forme, d’une sorte d’assurance à prendre sans délai contre l’Allemagne. Considérée comme la « seule responsable du conflit », elle doit être sanctionner au titre des dommages de guerre.

 

Sortie de guerre en terre d’empire : la démobilisation des tirailleurs sénégalais en AOFPublié le 10/02/2022

Soldats de France n° 17
Benoit Beucher (CDEC/CTGHM)

Du point de vue de la France, la Grande Guerre a plus que jamais été d’envergure mondiale. Car celle-ci n’était alors pas seulement une république, mais aussi un empire disposant de colonies dans presque tous les continents. Au sein de ce domaine impérial, l’Afrique occidentale française (AOF) a certainement payé le plus lourd tribut à l’effort de guerre. Plus de 160.000 soldats, la plupart engagés au sein d’unités de Tirailleurs sénégalais, ont été levés, de gré ou de force. Près de 30.000 d’entre eux sont tués ou portés disparus.

 

La reconstruction du département de l’AisnePublié le 03/02/2022

Soldats de France n° 17
ADC Claessens

Département français, l’Aisne, est un territoire à part entière, qui s’étend par ses « frontières » de la Belgique à l’Ile de France et de la Picardie à la Champagne. Dans le contexte de la Première Guerre mondiale, il constitue la dernière porte avant Paris. C’est un territoire clef et stratégique aussi bien pour les Allemands que pour les Français. Principalement agricole, le département se positionne, avant la guerre, au deuxième rang national pour la production de betterave et au sixième rang pour celle de céréales. Après la guerre, la destruction de la quasi-totalité des parcelles met en évidence la nécessité d’une reconstruction rapide et vitale de ce territoire, pour des questions alimentaires, économiques et démographiques.

Albert Roche (1895-1939), premier soldat de FrancePublié le 27/01/2022

Soldats de France n° 17
CBN Aude Piernas, Conservateur du musée des Troupes de montagne

De la Première Guerre mondiale, l’Histoire retient surtout des noms célèbres tels ceux des généraux ou de maréchaux qui se sont illustrés durant le conflit (Gallieni, Foch, Pétain, Mangin, Gouraud…). Certains de ces officiers ont rejoint le rang des grands chefs1 au Panthéon militaire, selon la politique de l’hommage public affectionnée par la IIIe République. Pourtant d’autres soldats français au rang plus modeste n’ont pas démérité et ont connu dès la fin du conflit une Gloire sans pareille. C’est le cas d’Albert Séverin Roche, dont le parcours d’origine ne le prédispose en rien au rang de Premier soldat de France.

Champs immatériels, un combat de l’informationPublié le 17/01/2022

Madame Céline Gojon
Dans un contexte de retour de la haute intensité, les différents champs de conflictualité que sont le cyberespace, l’environnement électromagnétique et les perceptions ont un rôle grandissant. Nos compétiteurs actuels et à venir seront de plus en plus en mesure de nous défier dans ces espaces, qui incluent des champs de bataille variés et aussi nouveaux que les réseaux sociaux par exemple.

 

Anticipation sur l’emploi des robots militairesPublié le 10/01/2022

Etudes et prospective
Lieutenant-colonel Arnaud LEDEZ
Ce court texte d’anticipation par analepse explore les missions robotisées de la logistique opérationnelle. Par un discours d’anniversaire, le général COMFT revient sur la création des premiers régiments de logistique automatisée de combat (RLAC). De la profondeur stratégique « jusqu’aux derniers centimètres », cette logistique prédictive repose sur une combinaison de drones et sur des logisticiens toujours au cœur de la bataille.

 

La différenciationPublié le 04/01/2022

Etudes et prospective
Lieutenant-colonel Emmanuel Meyer

La différenciation amène une spécialisation des unités tant par l’équipement que par l’adaptation aux besoins opérationnels, qu’il s’agisse de combattre dans un milieu particulier ou de répondre à une innovation adverse.

 

Essaims de drones : quels enjeux pour le combat de haute intensité ?Publié le 23/11/2021

Sarah Guendouz

Face à la possible résurgence des conflits majeurs dans le futur, les forces armées françaises doivent réapprendre la grammaire du conflit de haute intensité. En ce sens, l’armée de Terre doit disposer d’outils lui permettant d’engager de la masse lors de ses opérations. Cette note de recherche explore l’usage prospectif tactique, aussi bien offensif que défensif, des essaims de drones et de la lutte anti-drones dans le cadre d’un conflit de haute intensité à l’horizon 2035. Cette étude repose sur un travail de veille et de lecture de documents relatifs aux évolutions technologiques en matière de drones et d’essaims de drones, ainsi que sur des entretiens effectués avec des officiers de l’armée de Terre, respectivement spécialisés dans l’emploi des drones et la lutte anti-drones. Le document présentera dans un premier temps les possibilités offertes par un usage offensif et défensif des essaims de drones, avant de s’intéresser aux moyens de lutte anti-essaim de drones. Certains aspects liés au développement de la technologie de l’essaim de drones ne seront pas traités, tels que l’économie, l’éthique, ou les problématiques industrielles ; ces derniers restent néanmoins des éléments cruciaux et indissociables de cette réflexion.

Haut-Karabagh, une massification par les dronesPublié le 21/10/2021

Tamara Lubin-Vitoux et Céline Gojon

La reprise du conflit ouvert au Haut-Karabagh (du 27 septembre au 10 novembre 2020) a permis l’expérimentation de nouveaux modes d’action. La principale singularité mise en avant par les nombreux analystes et commentateurs est l’emploi massif de drones de taille modeste, à usage tactique et intégrés dans la manœuvre terrestre (cette fiche ne traitera que cet aspect). À l’heure des réflexions sur le retour de la « haute intensité », le conflit au Haut-Karabagh réaffirme l’importance de la « masse », en particulier à travers l’usage des drones.

 

La robotisation du champ de bataille russe : quelles implications pour le combat aéroterrestre et le commandement militaire en RPublié le 21/09/2021

Tamara Lubin-Vitoux . Rédactrice au Pôle études et prospective. Spécialiste du monde russe

Cette note a pour objectif de cerner les enjeux futurs de la robotisation de l’armée russe, d’en identifier les acteurs et d’anticiper les potentielles répercussions sur le commandement, la structuration des forces et la conduite des opérations russes. Jusqu’alors limité, l’emploi des systèmes robotiques russes (terrestres ou aériens) connait un regain d’attention grâce à leur fiabilité croissante, ce qui permet de leur déléguer un vaste champ de missions (en tant que combattants, capteurs ou soutien logistique). Ainsi, le pouvoir russe accorde une attention particulière – sur le plan doctrinal et stratégique – à la robotisation de son armée, conscient que cette dernière marque l’avènement d’une nouvelle manière de concevoir la « masse », le combat de « haute intensité » et la « guerre hybride ».

Ce document ne constitue pas une position officielle de l’armée de Terre.

 

Armée