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À propos de l’Essai sur la non-bataille du commandant Brossollet

Revue de tactique générale - La bataille
Histoire & stratégie
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Relire Brossollet, plus de quatre décennies après la parution de son Essai sur la non-bataille peut relever de la « madeleine de Proust » pour tout breveté de l’École de guerre, mais offre aujourd’hui encore d’authentiques pistes de réflexions, d’une singulière actualité. Il est en effet possible d’analyser sa pensée au prisme de trois idées : tout d’abord admirer la capacité iconoclaste de réflexion puis de rédaction d’un jeune officier stagiaire de l’École de guerre alors que la même École de guerre ­ Terre vient de voir sa durée de scolarité rétablie à une année pleine dans le but d’affirmer encore plus les capacités tactiques des futurs brevetés, ensuite la déclinaison de l’innovation technologique (missiles anti­ chars, laser…) dans les champs tactiques et opératifs alors que cette même innovation est aujourd’hui au cœur des préoccupations du ministère des armées, enfin la puissance de sa réflexion tactique qui propose dans une démarche incrémentale d’aller jusqu’à modifier l’articulation même du système de forces de son époque alors que cette même tactique générale revient au goût du jour à l’École Militaire, avec la création d’une Chaire de tactique générale de l’armée de terre.


Une capacité iconoclaste de réflexion

En rédigeant son Essai sur la non-bataille lors de sa scolarité à l’École supé­rieure de guerre (1972-74­), le commandant Brossollet, tout en soutenant avec force la dissuasion décrite dans le Livre Blanc sur la Défense Nationale de 1972, souligne l’ambiguïté de l’emploi des armes nucléaires tactiques de l’armée de terre (missiles Pluton) et remet en cause la primauté du char de combat, instrument principal de la bataille.

Rappelons tout d’abord le contexte environnant la parution de cet ouvrage, assez emblématique de l’application du concept de liberté d’expression au sein d’un système hiérarchique et régalien, tel que les armées. En publiant son ouvrage, froidement accueilli par l’institution militaire mais autorisé de parution, Brossollet s’inscrit dans la lignée des penseurs de rupture français, initialement décriés mais dont la postérité a souvent validé tout ou partie de leurs réflexions avant­gardistes, comme avant lui Charles de Gaulle avec son Vers l’armée de métier de 1934 et David Galula avec son étude de Contre-Insurrection, publiée par la RAND Corporation  en 1968. Ce refus « d’écouter les voix qui dérangent » a d’ailleurs été finement analysé par Pierre Servent dans Le complexe de l’autruche, pour en finir avec les défaites françaises 1870-1914-1940, paru en 2011.

Fortuitement quasi­simultanément avec la parution de l’Essai sur la non- bataille, le ministre de la défense lance, en juillet 1975, une nou­ velle revue d’information, Armées d’aujourd’hui, dont la couverture du n° 11 et l’article « Une Nation et sa défense » du général d’armée aérienne François Maurin, chef d’état­major des armées, sont tous deux illustrés par une image de la cérémonie nocturne de clôture de la manœuvre  Mourmelon 75 : des soldats de l’armée de Terre impec­cablement alignés devant des chars AMX30 et des lance-­missiles Pluton…

 

Devant le succès d’édition de l’Essai sur la non-bataille, la rédaction prit donc le parti d’ouvrir, dans le numéro 2, daté d’août 1975, ses colonnes au commandant Brossollet, afin de lui permettre de présenter son ouvrage, tout en offrant un espace d’expression équivalent au colonel Dominique de La Motte2, adjoint de l’inspecteur général de l’armée de terre, pour un article intitulé « Réponse à la non­-bataille ».

 

Cette réaction de l’état-­major peut s’expliquer par la nécessité militaire de l’unité d’action dans l’expression publique. En effet, lors de chaque Loi de Programmation Militaire, dans un contexte budgétaire rarement favorable, le CEMA doit inlassablement convaincre de la nécessité de sauvegarde d’un modèle d’armée complet, meilleure garantie de la capacité future de réponse à toute surprise stratégique, le fameux cygne noir de Juvénal. Dès lors, si les propositions alternatives sont évidemment constructives en phase d’élaboration et offrent l’incomparable mérite de stimuler la réflexion d’état­major, les voix divergentes postérieures, prônant un modèle toujours soi­disant plus économique, risquent clairement de deve­ nir contre­productives en affaiblissant l’outil. Il n’est que de se souvenir des propositions budgétaires apocalyptiques (modèles « Y » et « Z ») lors des travaux préparatoires à la Loi de programmation militaire 2014­193, faisant porter l’effort sur les forces spéciales, en arguant de la supériorité de la « qualité » sur la « quantité »… De même, à l’époque de Brossollet comme aujourd’hui, la réalité du recours à une défense européenne reste loin d’être acquise, même si la politique des petits pas produit peu à peu ses effets en ce domaine.

Voyons maintenant le côté iconoclaste de la réflexion, basé sur une analyse lucide de la contradiction entre la coutume militaire de son temps et le défi tactique posé par l’irruption de l’atome sur le champ de bataille.

Dans sa partie PRÉTEXTE, Brossollet souligne la fascination dans la pensée militaire française pour la bataille et l’action offensive, égratignant au pas­ sage l’offensive à outrance du début du siècle et minimisant la pérennité des enseignements à dominante offensive de Foch, qualifié de « dieu des écoles qui règne discrètement mais efficacement sur la pensée militaire française (p. 31) » alors que le Livre Blanc de 1972 prône clairement une stratégie défensive : « La France n’a ni revanche à prendre, ni frontière à modifier, ni hégémonie à imposer ou maintenir ». Dès lors l’articulation même des forces terrestres autour de la composante blindée, avatar ultime des cataphractaires antiques, lui paraît coûteuse et obsolète, alors même que le fait atomique est susceptible de bouleverser l’art de la guerre, tel qu’il est pratiqué depuis des siècles. L’articulation du schéma de manœuvre global de l’époque en quatre phases :

  • Déploiement et marche à l’ennemi d’un détachement d’avant­-garde ;
  • Engagement offensif des divisions ;
  • Frappe nucléaire massive ;
  • Exploitation par l’action offensive des divisions ;

induit à ses yeux « confusion entre action et signification et oblige le gou­vernement, au niveau tactique, au tout ou rien (p. 24) ». Brossollet  propose donc de bouleverser l’organisation et l’équipement des forces en prenant acte des possibilités technologiques qui semblent à cette époque redonner l’avantage au glaive sur le bouclier, via le missile anti­char, et de séparer clairement les forces conventionnelles des forces nucléaires tactiques. Face à l’écrasante domination matérielle du Pacte de Varsovie, il recom­ mande, non pas de nous battre d’une manière dissymétrique vouée à l’échec, mais d’user d’un mode d’action indirect en « nous opposant :

  • à la vitesse de l’adversaire, par la profondeur de notre dispositif ;
  • à sa masse, par notre légèreté ;
  • au nombre, par l’efficacité (p. 66) ».

Dans cette approche destinée à rester sous le seuil nucléaire, les forces nucléaires tactiques conservent un rôle de signification de la volonté poli­ tique, avant toute frappe stratégique. Brossollet prouve en deux lignes sa parfaite compréhension de l’intrication entre les niveaux tactique, opératif et stratégique : « si l’action relève du domaine militaire, la signification, elle, relève uniquement du politique. Et l’une ne se plie pas forcément aux impératifs de l’autre (p. 24) ».

Dans son approche prospective iconoclaste Brossollet prend évidemment le double risque de déplaire et de se voir partiellement contredit par le futur. Ainsi, par exemple, sa critique, essentiellement sous l’angle financier, de « la vieille dame qu’est l’artillerie (p. 50)» et de ses nouveaux AUF1 GCT résiste mal à la preuve ultérieure de l’utilité stratégique de leur emploi, tant en 1995 pour briser le siège de Sarajevo, qu’au Liban en appui des chars Leclercs déployés au sein de la FINUL II, puis lorsque leurs succes­seurs Caesar participèrent à la conquête de Mossoul en 2017…

 

L’innovation technologique au service de la tactique

Avec une rare lucidité à ce stade de la carrière, le commandant Brossollet décrit les opportunités tactiques rendues possibles par les progrès techno­ logiques de son temps, en particulier des missiles antichars, mis en œuvre par des fantassins ou des hélicoptères.

Au fil de son Essai, Brossollet fait preuve d’une impressionnante maîtrise technico­tactique interarmes et interarmées, détaillant les récents moyens nécessaires à la dissuasion (Mirage IV, engins balistiques et SNLE4, p. 21), citant tour à tour les systèmes les plus modernes de sa décennie : missile léger antichar Milan5 (p. 68), Atila (automatisation des tirs et des liaisons de l’artillerie, p. 77), terminaux hertziens (p. 116), afin de les combiner au mieux dans son système de combat.

Véritable intégrateur des capacités nouvelles, il entrevoit le potentiel naissant de l’informatique6, essentiellement pour fluidifier la remontée d’information en allégeant les traditionnelles chaînes de commandement pyramidales  (p. 70), suffoquées par l’afflux d’information. C’est d’ailleurs l’un des principaux arguments de ses détracteurs, lui reprochant une confiance exagérée dans une approche purement scientifique et décen­ tralisée du mode d’action défensif, niant le rôle des échelons supérieurs de commandement dans la gestion de la bataille, et en particulier le déclen­chement des contre­attaques, remettant ainsi en cause l’un des principes fondamentaux du commandement au combat : « l’acheminement et l’emploi des réserves est, avec la manœuvre des feux, la responsabilité essentielle du chef pendant la bataille »7.

Dans le paragraphe PERSPECTIVES (p. 107) Brossollet décrit précisément l’emploi futur des munitions guidées laser, telles qu’elles ont été populari­ sées par les forces américaines lors des deux guerres du Golfe, puis adop­ tées par les forces conventionnelles françaises, essentiellement à partir de l’engagement en Afghanistan. Sa compréhension du potentiel tactique de cette innovation est absolument remarquable, dans la mesure où, au tout début des années 70, les premiers autodirecteurs en étaient tout juste à la phase d’essai en vol et le prototype d’un illuminateur laser portatif n’était alors qu’en cours de réalisation8.

Son étude particulièrement exhaustive, qui souligne des lacunes réelles de l’outil de défense, est de plus complétée par un examen des possibilités financières du pays à l’égard de sa Défense, prenant en compte l’amélio­ration de la condition du personnel par redistribution des budgets dégagés des systèmes d’armes dont il recommande l’abandon (p. 103), ajoutant ainsi une réelle dimension organique, parfois réputée comme aride, à sa réflexion.

 

Les implications stratégiques de la réflexion tactique

Reconnu comme le plus authentique, voire le seul, penseur militaire fran­ çais par le Professeur Coutau­Bégarie, chargé d’enseignement à l’École de guerre, Brossollet maîtrise parfaitement les implications stratégiques de ses conceptions tactiques. Dans son argumentation il décline méthodi­ quement les capacités traditionnelles de la composante tactique terrestre : commandement, mêlée (au contact et de réserve), appuis, soutien, capa­ cité intégratrice interarmées, dont l’harmonieuse combinaison est source d’efficacité opérationnelle. Au­delà de son titre, qui pourrait à l’époque être compris comme un clin d’œil pacifiste dans l’air du temps, alors que l’auteur n’hésite pas une seconde à l’emploi cinétique des moyens, la non-bataille de Brossollet est en fait une manœuvre défensive décentra­ lisée, à l’image « des mailles d’un vaste filet » (p. 67), basée sur l’emploi de «modules terrestres de présence (p. 67) », reliés par des « modules de liaison (p. 76) », combinés à des « modules lourds à base de blindés (p. 74) » et des « modules aéromobiles de destruction (p. 72) ». Le schéma (p. 82) illustre à lui seul son concept.

Ce mode de combat, qualifié par l’auteur de « fractionnaire » est en fait une adaptation simplifiée d’une défense d’usure et dans la profondeur, essentiellement basée sur l’attrition progressive de l’ennemi.

Ce qui reste particulièrement intéressant dans la démarche de Brossollet, et offre d’ailleurs prise à la critique de ses détracteurs, c’est la démarche incrémentale, qui serait aujourd’hui qualifiée de bottom-up, s’appuyant sur la cellule de base d’un volume d’une quinzaine de soldats aux ordres d’un lieutenant, comprenant 3 ou 4 équipes de « lutte anti­char » et une équipe « mortier de 81 ». Ce module recevrait « un secteur de combat et une tâche – destruction de trois engins adverses (p. 69) ». Cette cellule de combat élémentaire n’aurait vocation qu’à être employée une seule fois, réduisant ainsi les contraintes logistiques. La chaîne de commandement est prévue jusqu’au niveau bataillonnaire mais l’auteur reste silencieux au­delà, citant uniquement un commandement centralisé « disposant au sommet d’une banque de données (p. 77) » aux ordres « d’un chef­système, suprême organisateur et connecteur de ce vaste assemblage de modules synchrones (p.113) », privilégiant clairement une approche déconcen­trée du commandement. Son constat de l’affrontement des masses sur des espaces immenses conjugué à l’existence du fait nucléaire tactique, arme dont la décision d’emploi revient au pouvoir politique, rend en effet à ses yeux impossible la bataille traditionnelle, et donc plus que tout la manœuvre centralisée, aux ordres d’un chef, héritier du « mythe des Grands Décideurs (p. 45) ». Ce constat de la complexité des conflits modernes a d'ailleurs été partiellement résolu par le général (US) Stanley Mc Chrystal dans son ouvrage Team of teams9, issu ses expériences de commandement des forces spéciales américaines en Irak puis de la coalition en Afghanistan, dans lequel il délaisse le « chef joueur d’échec » au profit d’un « chef jardinier, ayant une vision d’ensemble qui favorise la création d’un écosystème dans lequel son organisation opère ».

 

Conclusion

Certes Brossollet n’a pas été forcément prophète en son pays, brutalisant sans doute par trop une armée de terre à l’époque en plein bouleverse­ ment : accession  à la capacité nucléaire tactique, entraînement focalisé en vue d’un engagement massif du corps de bataille blindé­mécanisé face au potentiel ennemi soviétique suite à l’écrasement du Printemps de Prague, crise de moral des comités de soldats10… Mais il faut reconnaître que la pertinence de son analyse stimula au sein de l’état­major l’évolu­ tion de l’organisation des forces : concept  de la trame anti­char, cœur de l’entraînement tactique des années 80, concrétisation de son concept des « forces d’interventions  aéromobiles  (p. 98) » par la création de la force d’action rapide (FAR) en 1984, avènement de l’aérocombat (« Force Éclair » créée par regroupement des hélicoptères du 1er CA en 1982 puis création de la 4e DAM en 1985 et aujourd’hui du pilier ALAT dans le modèle « Au contact »), entre autres. De plus, le démantèlement en 1997 des missiles Hadès [successeur du Pluton, déjà recommandé par Brossollet comme un « Super Pluton » (p. 95)] faisant suite à l’élection du président Chirac en 1996 et à l’évolution de la force de dissuasion, qui passe alors de 4 à 2 composantes, illustre la pertinence de son propos relatif à l’ambiguïté d’emploi du nucléaire tactique.

Certains admirateurs voient également en lui l’un des concepteurs de la techno-guérilla11 telle qu’elle a été pratiquée au Liban en 2006 par le Hez­bollah ou encore de la guerre hybride, mêlant emploi des technologies les plus récentes, drones et cyber, avec les moyens plus traditionnels – chars et artillerie…, comme par exemple au Donbass en 2016.

Enfin, compte tenu de la politique de dissuasion qu’il ne remet jamais en cause, Brossollet rappelle le rôle de nos armées qui consiste à « manifes­ ter à tout agresseur notre volonté de défense, ce qui implique de recourir aux armes de répression massive si la menace l’exigeait, et de permettre ce recours au moment choisi par le gouvernement  (p. 61) ». À cet effet Brossollet recommande donc l’articulation des forces terrestres en trois forces complémentaires : forces conventionnelles de test et d’informa- tion [du gouvernement en vue de sa prise de décision d’emploi de l’arme atomique], forces nucléaires de signification, forces d’intervention. Dans une sorte d’inversion de la formule Clauzewitzienne, il est possible d’en conclure que la frappe nucléaire, acte politique par essence, est bien la continuation de l’action de guerre conventionnelle par un autre moyen, sujet qui méritera un développement ultérieur.

 

 

1   Cote P 0975 du Centre de documentation de l’école militaire.

2   Auteur en 2012 de De l’autre côté de l’eau, réflexion sur la liberté et la guerre, issue de son expérience d’Indochine.

3   Jean Guisnel, Vers une apocalypse budgétaire pour les armées, Le Point, 13 et 26/03/2013.

4   Entrée en service du Mirage IV en 1964, du SNLE le Redoutable le 1er décembre 1971.

5   Mis en service dans l’armée de terre en 1973.

6   Outil informatique IRIS 35 M développé à la fin des années 60, dans le cadre du « Plan calcul militaire ».

7   Rapport du lieutenant­colonel Langlais, commandant le Groupement aéroporté, à propos de la bataille de Dien Bien Phu, paru le 4 mai 1963 dans le Figaro Littéraire.

8   Catalogue de l’Exposition des Armements terrestres de Satory 1973..

9   Penguin, mai 2015.

10   Appel des 100, revendication de soldats appelés aux candidats de l’élection présidentielle de 1974.

11   Concept développé dans les années 80 par un auteur allemand Horst Afheldt (Vertiedigung und Frieden, traduit en français par Pour une défense non suicidaire en Europe).

 

Revue de littérature

  • Compte-rendu sur « Essai de la non-bataille », Jean KLEIN, Politique Étrangère, 40­5, pp.560­563,1975.https://www.persee.fr/doc/polit_0032­342x_1975_num_40_5_1757_ t1_0560_0000_2
  • La mort de Guy Brossollet, théoricien de la non-bataille, Jean­Dominique MERCHET, l’Opinion, 16 septembre 2015. https://www.lopinion.fr/blog/secret­defense/mort­guy­brossollet­theoricien­non­bataille­28161
  • Essai de la non-bataille, de Guy Brossollet, Le Conflit, 5 novembre http://www.leconflit.com/article­essai­sur­la­non­bataille­de­guy­ brossollet­38822163.html
  • Guy Brossollet : stratège, précurseur et esprit libre, Jean GUISNEL, Le Point, 24 septembre 2015. https://www.lepoint.fr/editos­du­point/jean­guisnel/guy­brossol­let­stratege­precurseur­et­esprit­libre­24­09­2015­1967519_53.php
  • Des théories françaises reprises par les stratèges de Daesh, Jean GUISNEL, Le Point, 29 septembre 2015 (entretien avec Joseph HENROTIN). https://www.lepoint.fr/editos­du­point/jean­guisnel/des­theories­fran­ caises­reprises­par­les­strateges­de­daesh­29­09­2015­1968913_53. php
  • Les adaptations de la guerre irrégulière aux nouvelles conditions tech- nologiques : vers la techno-guérilla, Joseph HENROTIN, Stratégique, vol. 93­94­95­96, n° 1, pp. 533­566, 2009. https://www.cairn.info/revue­strategique­2009­1­page­533.htm
  • L’héritage de la pensée militaire française, Hervé COUTEAU­BÉGARIE, Revue de la Défense Nationale, In Memoriam, Tribune, 27 février 2012. https://fr.calameo.com/read/0005581156f3e01dd913d
  • Armed Forces, States and Threats: Civil-Military Institutions and Military Power in Modern Democracies, Marc Ronald DEVORE, Massachusetts Institute of Technology Archives, 2009 https://core.ac.uk/download/pdf/4424127.pdf (G. Brossollet est référencé page 225)
  • Hervé Couteau-Bégarie, la techno-guérilla et la prospective militaire, Joseph HENROTIN, Prospective et stratégie, vol. numéro 8, n° 1, pp. 37­46, 2017. https://www­cairn­info­s.acces­distant.sciences­po.fr/revue­pros­ pective­et­strategie­2017­1­page­37.htm?1=1&DocId=502238hits=4218+4217+3408+3407+905+904+128+127



 


 

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Titre : À propos de l’Essai sur la non-bataille du commandant Brossollet
Auteur(s) : Général Michel DELION, général adjoint au directeur du CDEC
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Armée