Les contenus multilingues proposés sur le site sont issus d'une traduction automatique.
 

 
 
 
 
 
Français
English
Français
English
 
 
 
entete-eclaireur
 
 


 

 

 

 

Ukraine buys advanced Turkish Strike Drones

Yuri Lapaiev, The Jamestown Foundation, 6 février 2019

 

(source recoupée)

Un accord a été annoncé le 26 janvier, par l’agence ukrainienne pour l’armement Ukoboronprom, entre les sociétés ukrainienne Ukrspecexport et turque Baykar Makina sur la vente de douze drones d’attaque Bayraktar TB2. Il s’agirait du premier achat ukrainien d’aérodynes de ce type. Doté de capacités de renseignement, de surveillance et de ciblage, il peut également effectuer des frappes aériennes contre des véhicules ou des bâtiments, grâce à des missiles antichars d’une portée de 8 000 mètres. En outre, ce véhicule aérien sans pilote dispose d’une autonomie de 24 heures et peut atteindre la vitesse maximale de 222 km/h. Enfin, son altitude maximale de 8 000 mètres lui permet de rester hors de portée des armes légères et des missiles sol-air à courte portée, comme le 9K33 Osa russe (SA-8 Gecko), déployé dans les régions occupées de Donetsk et de Louhansk. Il reste toutefois vulnérable au système 9K37 Buk (SA-11 Gadfly).

Disponibilité : immédiate

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • assurer un suivi de la dissémination de nouvelles technologies et la prolifération des drones armés ;
  • confirme le besoin de capacités de défense sol-air moyenne portée en appui des Forces Terrestres ;
  • confirme le besoin de renforcement d’une capacité de lutte anti-drones (LAD) globale et interarmées.

 

 

 

Army tests using a grenade to stop drones with a net

Kelsey D. Atherton, Army Times, 11 février 2019

 

(source recoupée)

L’US Army développerait des prototypes de filets projetés par lance-grenades, destinés à la lutte anti-drones. Actuellement testé dans un lanceur Mk-19 de 40 mm à la portée encore inconnue, ce dispositif présente l’avantage de préserver l’intégrité du drone, qui peut ensuite faire l’objet d’investigations.

Disponibilité : 2 ans

Intérêt pour l’armée de Terre

  • assurer un suivi du développement de moyens de lutte anti-drone (LAD) ;
  • confirme la pertinence du développement de moyens permettant d’affronter la menace air-sol basse couche aux petits échelons.

 

 

 

Despite US threats, Turkey to purchase Russia’s S-400 Missile System

Haaretz, 14 février 2019

 

(source recoupée)

D’après une source parlementaire turque, Ankara serait sur le point d’acquérir deux systèmes de défense anti-aérienne S-400 d’une portée maximale de 400 km. Selon un officiel du département d’État américain (DoS), ce contrat, d’un montant de 2,4 milliards d’euros, pourrait remettre en question l’achat de systèmes américains Patriot par la Turquie et ainsi déboucher sur de potentielles sanctions de la part de Washington. Inquiets face à la détermination de son allié de se doter d’un équipement incompatible avec son statut de membre de l’OTAN, les États-Unis auraient menacé la Turquie de geler la livraison de chasseurs F-35 de cinquième génération.

Disponibilité : immédiate

Intérêt pour l’armée de Terre  

  • suivre l’évolution des capacités de déni d'accès et d’interdiction de zone (A2/AD) et leur prolifération ;
  • suivre les implications de l’acquisition éventuelle d’un système russe par la Turquie, en particulier ses conséquences sur les relations entre pays membres de l’OTAN. 

 

 

“U.S Army aims to equip next-gen Abrams tanks with advanced sensors”

Defence Blog, 9 février 2019

 

(source unique)

Le programme de modernisation du char de bataille M1A2D américain (MBTS) se poursuit. Cette version intégrera la technologie de troisième génération FLIR (Forward Looking Infrared). Le char sera doté d’une caméra couleur, d’un télémètre laser ainsi que d’un pointeur laser afin de faciliter l’acquisition d’objectifs. Par ailleurs, il est fort probable que ce char soit équipé d’un système de protection active.

Disponibilité : 5 ans

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • suivre les évolutions technologiques permettant d’augmenter le niveau de protection sans alourdissement ;
  • suivre les évolutions technologiques permettant d’acquérir plus rapidement des objectifs (détection), de les engager à plus grande distance (allonge), de les détruire à coup sûr malgré leur niveau croissant de protection (puissance).

 

 

 

“Pegasus Aerospace launches Security Drone System that packs a Wallop”

Jason Reagan, Dronelife, 1er février 2018

 

(source recoupée)

La société américaine Pegasus Aerospace a annoncé cette semaine le lancement d’un nouveau drone tactique, le ShockWave Tactical UAS. Destiné aux secteurs public et privé, ce drone dispose de plusieurs options de neutralisation non létale. En effet, cet aérodyne pourrait être équipé de moyens de neutralisation lumineux et sonores, d’un lanceur type Taser, de grenades Flashbang, mais aussi de munitions au poivre ou de balles de défense. En outre, le ShockWave Tactical UAS pourrait être employé en mode autonome ou semi-autonome. Enfin, équipé d’une caméra thermique et de qualité UHD, le drone transmettrait la vidéo en temps réel, mais pourrait également la stocker sur disque dur.

Disponibilité : immédiate

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • disposer de moyens complémentaires susceptibles de permettre de mieux graduer l’usage de la force ;
  • diversifier les capacités de surveillance, d’acquisition de cibles, de reconnaissance et de renseignement (SA2R) au sein des forces.

 

 

 

The Army thinks their new rifle will be like an Iphone”

Tom McKay, Gizmodo, 9 février 2019

 

(source recoupée)

Dans le cadre du programme Next Generation Squad Weapons, l’armée américaine souhaite développer une arme dont l’objectif serait de remplacer le fusil M4 et la mitrailleuse M249. D’un calibre de 6,8 mm, cette arme intégrerait plusieurs systèmes :

  • un dispositif de pointage afin d’augmenter la précision des tirs longue distance ;
  • une technologie miniaturisée d’acquisition de cibles composée d’un système de positionnement et d’un télémètre, comme sur les pièces d’artillerie, protégée contre les cyberattaques ;
  • des capteurs prenant en compte les conditions météorologiques et permettant d’ajuster la visée en conséquence.

Ce nouveau fusil serait donc une véritable plateforme modulable, permettant de faire converger plusieurs technologies. Cinq entreprises semblent participer au projet : AAI Corporation/Textron Systems, General Dynamics-OTS Inc., PCP Tactical LLC, Sig Sauer Inc et FN America LLC.

Disponibilité : 5 ans

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • améliorer les moyens d’agression du combattant débarqué ;
  • s’interroger sur l’équilibre à trouver entre technologie et robustesse des équipements.

 

 

 

Sorry, Marvel fans: SOCOM says real-life ‘Iron Man’ suit remains a fantasy

Joshua Axelrod, AirForceTimes, 9 février 2019

 

(source recoupée)

En 2013, le SOCOM (Special Operations Command) américain imaginait une armure sur le modèle d’Iron Man. Ce projet, appelé TALOS (Tactical Assault Light Operator Suit), n’est toutefois toujours pas opérationnel en raison du manque de maturité des technologies nécessaires. Cependant, les recherches se poursuivent et auraient d’ores et déjà permis d’améliorer la légèreté de l’armure de protection, ainsi que le dispositif d’affichage tête haute intégré au casque (HUD).

Disponibilité : 10 ans

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • assurer une veille sur l’ensemble des programmes liés à l’augmentation des capacités du combattant débarqué dans les armées modernes ;
  • s’interroger sur l’équilibre à trouver entre la protection du combattant débarqué et l’impératif de mobilité tactique.

 

 

 

“M2 Bradley Gets An Iron Fist ; Rival Trophy APS Wins $67M For Army, Marine M1 Tanks”

Sydney Freedberg, Breaking Defense, 7 janvier 2019

 

(source recoupée)

L’US Army aurait choisi le système de protection active Iron Fist pour équiper ses véhicules blindés M2 Bradley. Dans un contexte de prolifération des missiles anti-chars russes et chinois sur les différents théâtres d’opérations moyen-orientaux, le choix a été fait de doter l’intégralité d’une brigade de M2 Bradley de ce système, développé par l’israélien Elbit. Alternative envisagée à l’Iron Fist, le système Trophy, produit par Rafael, sera intégré aux chars Abrams M1 de quatre brigades de l’US Army, mais aussi à ceux du US Marine Corps.

Disponibilité : 1 an

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • assurer une veille sur l’ensemble des programmes liés à la protection active et passive des véhicules de combat ;
  • s’interroger sur l’équilibre à trouver entre furtivité/robustesse/riposte pour aboutir à des solutions de survivabilité adaptées à chaque équipement.

 

 

 

“Australia to Test Iron Fist APS on Boxer”

Ami Rojkes Dombe, Israel Defense, 27 janvier 2019

 

(source recoupée)

L’armée australienne va évaluer le système de protection active israélien Iron Fist en vue d’une éventuelle intégration à ses véhicules blindés Boxers Land 400. Le consortium allemand dirigé par Rheinmetall, en charge de la production des Boxers, avait proposé d’ajouter à la commande australienne son propre système de protection active. Cependant, le brigadier général Greg McGlone, responsable des véhicules blindés de combat de l’armée australienne, a affirmé que le système développé par la firme israélienne Elbit était le seul à satisfaire aux besoins du Boxer.

Disponibilité : 2 ans

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • assurer une veille sur l’ensemble des programmes liés à la protection active et passive des véhicules de combat ;
  • s’interroger sur l’équilibre à trouver entre furtivité/robustesse/riposte pour aboutir à des solutions de survivabilité adaptées à chaque équipement.

 

 

“Des drones sauveteurs fabriqués à Lausanne”

Armando Mombelli, Swissinfo, 9 février 2019

 

(source recoupée)

La start-up suisse Flyability fabrique des drones capables de pénétrer dans des milieux inaccessibles à l’homme et des environnements hostiles. Ce drone nommé ELIOS s’est inspiré des mouvements d’une mouche afin de “résister aux chocs, conserver une orientation et trouver une voie de sortie”. Enfin, il serait destiné à doter les unités de police comme le RAID français ou encore les pompiers. L’aérodyne mesure 40 cm de diamètre et peut évoluer dans des températures jusqu’à 50°C. La start-up suisse souligne que ce drone ne sera vendu aux militaires qu’à des fins d’observation.

Disponibilité : immédiate

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • disposer de moyens complémentaires susceptibles d’élargir la capacité de surveillance, d’acquisition de cibles, de reconnaissance et de renseignement (SA2R), en particulier à l’intérieur des bâtis et sous terre.

 

 

 

“The Marines just 3D-printed an entire bridge in California”

Gina Harkins, Military.com, 31 janvier  2019

 

(source recoupée)

Au cours de l’exercice Steel Knight en décembre 2018, le 1er groupe logistique de l’US Marine Corps (USMC) a construit une passerelle en béton à l’aide d’une imprimante 3D, directement sur le terrain. Cette technique ne nécessite pas de matériaux lourds tels que du gravier, mais une composition aux caractéristiques non communiquées. Grâce à cette imprimante, l’ouvrage d’art a été construit avec un seul opérateur en une journée, au lieu de cinq habituellement. Ce projet fait suite à la construction avec le même procédé d’impression 3D, d’un baraquement de 40 m² en août 2018. L’USMC n’a communiqué aucun détail sur la longueur, la classe du pont ou sa durée de vie. Les Marines indiquent toutefois que ce type d’édifice est encore expérimental et que des tests supplémentaires seront encore nécessaires avant son déploiement opérationnel.

Disponibilité : 5 ans

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • accroître les capacités  dans le domaine de l’appui à la mobilité et l’aide au déploiement d’une force ;
  • accroître l’autonomie logistique des unités de l’avant sans les alourdir.

 

 

 

“Un nouveau dispositif Soft-kill pour protéger les blindés russes des missiles guidés”

Agence TASS, 8 février 2019

 

(source recoupée)

D’après l’agence TASS, la Russie serait susceptible d’acquérir pour ses véhicules de combat un dispositif soft-kill contre les munitions guidées. Plus efficace, plus léger et moins onéreux, celui-ci pourrait se substituer au système hard-kill Afganit équipant déjà certains types d’engins blindés, tels le T14 Armata. Il comprendrait un système de détection laser et un diffuseur de substances chimiques lui permettant d’identifier et de détourner les missiles en approche. Il sera testé sur le nouveau canon automoteur Lotos de 120 mm.

Disponibilité : 5 ans

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • assurer une veille des systèmes de protection actifs et passifs développés par l’armée russe ;
  • développer des systèmes de contre-mesure permettant d’affronter la menace blindée.

 

 


 

“Ce robot parvient à se relever tout seul”

Journal du Geek, 9 février 2019

 

(source unique)

L’une des principales faiblesses des robots était jusqu’à présent leur incapacité à se relever de façon autonome. ETH Zurich et Intel ont présenté un engin qui, grâce à l’intelligence artificielle, lui permet d’analyser son environnement et de se relever dans toutes les situations. L’automate serait également capable de compenser une poussée en cas de choc pour éviter une chute.

Disponibilité : 5 ans

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • assurer une veille sur l’ensemble des programmes liés au développement d’engins autonomes ;
  • s’interroger sur la place pour les systèmes automatisés dans le combat débarqué ;
  • disposer d’engins autonomes adaptés aux déplacements en milieux accidentés.

 

 

 

“От 30 до 57: какой будет машина поддержки танков на базе «Арматы»“ - “De 30 à 57 mm, à quoi ressemblera le véhicule de soutien du programme Armata ? ”

Isvestia, 11 février 2019

 

(source unique)

Le véhicule d’accompagnement de char BMPT va être modifié suite aux retours d'expérience de Syrie. Le châssis T-72/90 serait remplacé par la structure Armata pour renforcer la protection de l’engin. Les combats en Syrie ont par ailleurs mis en exergue la faiblesse des munitions de calibre 30 mm. Ainsi, le BMPT pourrait être équipé d’un canon de 57 mm, d’une portée de 2900 mètres contre 2000 mètres actuellement, ainsi que du système de missile anti-char Ataka. Les dispositifs optiques de ces armes permettraient de tirer avec précision contre des drones de petite taille ou des hélicoptères. Enfin, le véhicule serait équipé d'un dispositif de poursuite de cibles et d'un système de guidage permettant de tirer avec précision, indépendamment des conditions météorologiques ou de visibilité.

Disponibilité : 3 ans

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • assurer une veille sur les retours d’expérience tirés de l’utilisation d’engins blindés en situation de combat ;
  • s’interroger sur la manière d’assurer la continuité combat embarqué/combat débarqué et d’affronter la menace air-sol basse couche aux petits échelons.

 

 

 

“Arquus doit-il rejoindre l’“Airbus des blindés” ”

Vincent Lamigeon, Challenges, 7 février 2019

 

(source unique)

Selon l’article, Arquus pourrait être intégrée au sein de KNDS, joint-venture franco-allemande dans le domaine des blindés, née du rapprochement entre Nexter et KMW.  En effet, malgré une situation économique encourageante, l’entreprise française est encore perçue comme un “poids plume dans un marché de géants”. Par ailleurs, l’industriel dusseldorfois  Rheinmetall pourrait également rejoindre KNDS, rompant ainsi l’équilibre entre les participations des deux pays au profit de l’Allemagne.

Disponibilité : N/A

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • renforcement de la base industrielle et technologique de défense européenne.

 

 

“Dassault Aviation et Airbus signent le contrat d’étude de concept du système de combat aérien futur (SCAF) ”

Jacques Marouani, Électroniques, 8 février 2019

 

(source recoupée)

Dassault Aviation et Airbus ont lancé l’étude du concept du Système de Combat Aérien du Futur (SCAF). Le projet vise à déterminer les différentes capacités du SCAF et à définir les bases de son industrialisation future. D’après Dirk Hoke, président exécutif d’Airbus Defense & Space, les deux entreprises “s’engagent à fournir les meilleures solutions en ce qui concerne l’avion de combat de prochaine génération et les systèmes qui l’accompagneront“. La capacité opérationnelle de ces systèmes de combat aérien est prévue pour 2040.

Disponibilité : 2 ans pour l’étude.

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • renforcement de la base industrielle et technologique de défense européenne.

 

 

“L’obus Excalibur bientôt qualifié sur CAESAR”

Nathan Gain, Forces Opérations Blog, 14 janvier 2019

 

(source recoupée)

D’après une vidéo du régiment d’artillerie de l’Armée Royale Danoise, l’obus Excalibur, produit par l’américain Raytheon, a été testé sur CAESAR. Ce test de tirs, réalisé conjointement avec Nexter et Raytheon et achevé en décembre, a mis en évidence la compatibilité de cet obus de 155 mm avec le canon français. L’Armée danoise avait acquis 15 CAESAR montés sur châssis Tatra 8x8 auprès de Nexter. Le succès de cet exercice danois démontre la polyvalence du CAESAR. Cependant, comme l’a rappelé le général d’Armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre, en octobre dernier, si la qualité des canons français est aujourd’hui reconnue, les Américains restent à la pointe en matière de munitions. Afin de combler ce retard, Nexter travaille actuellement sur l’obus guidé Katana, d’une portée de 60 km, supérieure à celle de l’Excalibur (50 km).

Disponibilité : immédiate

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • renforcer la base industrielle et technologique de défense ;
  • valoriser la polyvalence opérationnelle et logistique du CAESAR.

 

 

 

“La Gendarmerie nationale se lance dans la voie de l’innovation de rupture”

Laurent Lagneau, Zone militaire, 8 février 2019

 

(source recoupée)

Dans le cadre du plan stratégique “Recherche et Innovation 2002”, la Gendarmerie nationale souhaiterait bénéficier des technologies actuelles, mêlant l’intelligence artificielle, le numérique et la robotique. Pour ce faire, la Gendarmerie dispose d’un arsenal de recherche très performant avec à son actif soixante docteurs et cinquante masters spécifiques. Soucieux de faire de l’innovation le mot d’ordre de la gendarmerie, ce programme permettra aux acteurs d’améliorer les enquêtes judiciaires et les performances physiques grâce au programme Exosquelette 19. À l’aide des dispositifs Gendbones ou Gendscraper, la Gendarmerie nationale serait en mesure d’approfondir ses procédés d’exploitation en termes d’empreintes. Elle parviendrait, grâce à l’outil Alice, à accroître ses capacités d’analyses d’images dans les cas de cyber pédophilie.

Disponibilité : N/A

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • s’inspirer des bonnes pratiques observées dans les autres armées dans le domaine de l’innovation ;
  • renforcer les synergies entre les centres de réflexion de l’armée de Terre et l’enseignement supérieur.

 

 

 

YesWeHack met sa plateforme de bug bounty à disposition du ministère des Armées”

YesWeHack Blog, 22 janvier 2019

 

(source unique)

Fin janvier, le Commandement de la cyberdéfense (ComCyber) a conclu un partenariat avec la startup française YesWeHack, spécialiste du bug bounty (litt. “prime de bug”). L’objectif est d’organiser, d’ici fin février, le premier bug bounty du ministère des Armées, une compétition à l’issue de laquelle des hackers sont récompensés pour les failles détectées dans les systèmes du ministère des armées. Le recrutement de hackers “éthiques” devrait contribuer à la constitution d’une réserve opérationnelle cyber.

Disponibilité : N/A

Intérêt pour l’armée de Terre :

  • renforcer les capacités de protection cyber ;
  • parvenir à une meilleure complémentarité entre capacités cyber stratégiques et capacités cyber tactiques.

 

 

 

 

Training for war- Russia’s strategic-level Military Exercices 2009-2017

Johan Norberg, FOI, octobre 2018

 

 

L’agence suédoise de recherche pour la défense a publié un document décrivant et analysant les exercices militaires stratégiques russes.  L’étude de ces exercices peut permettre de mesurer les capacités des forces armées russes à conduire une opération. Ce document détaille ainsi les différents scénarios établis par l’état-major russe : les conflits armés, les conflits locaux, les conflits régionaux ainsi que les guerres à grande échelle. L’intérêt d’un tel document est d’identifier les unités engagées dans ces exercices et de déterminer le niveau opérationnel de ces dernières.

Disponibilité : N/A

Intérêt pour l’armée de Terre :

  •         assurer une veille des capacités des forces armées russes à conduire des opérations.

 

 

 

Vous abonner ou vous désinscrire de la lettre : cdec-pep.accueil.fct@intradef.gouv.fr

 

 

L’Éclaireur est une lettre de veille en sources ouvertes, réalisée par les rédacteurs du pôle études et prospective du CDEC. Elle a pour objectif d’appuyer les travaux de prospective sur le combat aéroterrestre, conduits dans le cadre du Forum de la pensée mili-terre. Les brèves proposées constituent une synthèse des informations brutes ; il appartient au lecteur de les remettre dans leur contexte.
 
 


 
Armée