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Autres sources

 

Les articles à la une

« Za Rodinou » – « Pour la Patrie » : la nouvelle place de l’officier dans la société russePublié le 28/11/2019

BRENNUS 4.0
Madame Maëlle Marquant, chercheur associé du pôle études et prospective du CDEC

Depuis l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine en 1999, le gouvernement tend à réhabiliter le prestige de son armée. En effet, si les officiers soviétiques étaient érigés en héros, victorieux de l’Allemagne nazie, la chute de l’URSS a terni l’image de l’armée. Dans un contexte de crise économique et sociale entraînant la diminution des dépenses consacrées à la défense, le personnel militaire vivait dans des conditions dramatiques. En 1997, la chercheuse Elisabeth Sieca-Kozlowski témoignait : « L'armée russe est une armée mal nourrie, mal logée, désorientée, clochardisée, laissée à l'abandon, une armée dont l'objectif premier n'est plus de maintenir sa capacité de combat mais de subsister, par tous les moyens. »[1] Autrefois adulé, l’officier a perdu son prestige et est devenu un enjeu social, économique et identitaire. Comment le gouvernement russe a-t-il contribué à améliorer l’image de l’officier et de l’armée en général depuis la fin de l’URSS ?

ESQUISSE DE LA MANOEUVRE FUTUREPublié le 27/11/2019

2/2 - BRENNUS 4.0
Monsieur Hugo-Alexandre QUEIJO, chercheur associé du pôle études et prospective du CDEC

Pour le général Hubin, le changement fondamental réside dans la densité des moyens capables de contrôler un espace donné[39]. La dispersion répond à une double contrainte, les coûts des unités (chaque nouvelle génération de matériel se révèle de 2 à 8 fois plus chère que la précédente[40]), d’une part, et la précision des feux indirects, d’autre part. La première phase de la manoeuvre globale conduit à une bataille pour l’information, là aussi, en raison d’une double contrainte.

La densification de l’action terrestrePublié le 26/11/2019

1/2 - BRENNUS 4.0
Monsieur Hugo-Alexandre QUEIJO, chercheur associé du pôle études et prospective du CDEC

Synthèse et approche critique des « Perspectives tactiques » du Général Guy Hubin

Les conséquences des insuffisances de l’entraînement sur l’emploi de l’outil militairePublié le 25/11/2019

2/2 - BRENNUS 4.0
le lieutenant-colonel Christophe Gué, officier référent histoire de l'armée de Terre

Insuffisant pour contribuer à la mise au point d’un instrument de combat optimal, l’entraînement des armées française ne permettait pas davantage de tirer correctement parti de l’existant. Cela eut de lourdes conséquences pendant l’Entre-deux-guerres et les huit mois de la « drôle de guerre » n’amenèrent pas le redressement de la situation qu’on pouvait espérer.

L’entraînement de l’armée française pendant l’Entre-deux-guerres et la « drôle de guerre » ses liens avec le désastre de 1940Publié le 24/11/2019

1/2 - BRENNUS 4.0
le lieutenant-colonel Christophe Gué, officier référent histoire de l'armée de Terre

L’armée française était relativement mal entraînée en mai 1940, comme en témoignent les paniques qui survinrent, face à l’imprévu, et le manque de réactivité des unités dans des situations mouvantes.

L’entraînement de l’armée française avant 1914Publié le 23/11/2019

BRENNUS 4.0
le colonel (H) Claude Franc, du CDEC

Lorsque l’on évoque l’entraînement des unités de l’armée française avant 1914, un stéréotype s’impose à l’esprit, les « grandes manoeuvres ». L’idée de leur inadaptation est bien ancrée, et partant de cette image d’Epinal, on en est venu à considérer que l’armée française n’était pas entraînée à la veille de la guerre. La vérité est bien éloignée de cette image devenue caricature. En fait, en considérant les années d’avant-guerre, on ne peut que constater que l’armée était entrainée. Comment d’ailleurs, les grandes unités auraient-elles pu, non seulement conserver leur cohésion, mais également repartir à l’attaque, au terme d’une retraite de plusieurs centaines de kilomètres, si elles n’avaient pas été entraînées à la manœuvre ?

« L’endurance » du couple homme-cheval négligée, « la force morale » du cavalier entaméePublié le 22/11/2019

2/2 - BRENNUS 4.0
lieutenant-colonel Georges Housset, du pôle études et prospective du CDEC

Le garde d’honneur est jeune, voire très jeune. Il sort souvent d’un cocon familial où la contrainte lui est inconnue. A cette époque, les domestiques sont nombreux. Si un grand nombre de gardes maîtrisent l’équitation, leur condition les a éloignés des corvées attachées à l’entretien des montures (pansage, nourriture), celles de son armement.

La remontée en puissance de l’armée française en 1813Publié le 21/11/2019

1/2 - BRENNUS 4.0
lieutenant-colonel Georges Housset, du pôle études et prospective du CDEC

La mission principale des forces armées au repos est l’entraînement. Ce dernier permet de mettre en condition les personnels (encadrement comme soldats) et les matériels en vue de leur emploi en temps de guerre.

La « société de haute intensité » face aux questions de soutenabilitéPublié le 20/11/2019

3/3 - BRENNUS 4.0
Monsieur Hugo Decis, de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques

Pour apparaître comme un adversaire crédible et donc dissuader son adversaire de prendre position contre elle, l’armée de Terre doit non seulement posséder un nombre conséquent de matériels et de personnels, mais encore avoir la capacité de les projeter.

Prémices et nature de l’affrontement futurPublié le 19/11/2019

2/3 - BRENNUS 4.0
Monsieur Hugo Decis, de l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques

Le renforcement de la robustesse de notre forteresse ne doit pas nous conduire à négliger la possibilité d’un assaut dirigé contre le cœur même de notre nation ; au contraire, théoriser l’importance de « l’entre-deux » doit nous encourager à développer notre capacité à y intervenir. En ce sens, le territoire national ne doit donc pas être représenté comme un front distinct de celui que nous entendrions tenir au sein de « l’entre-deux », mais bien comme un simple prolongement du « front monde » dont l’émergence est rendue possible par le développement de la technologique, le raffinement de la lutte cyber et la croissance continue de la portée des armes.

Armée